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Avec la performance PLURIELLES – Soror#1, Maxence Rey et ses complices — danseuses, performeuses, comédiennes — interrogent le corps comme un champ d’investigation infini. Elles s’immergent dans l’exposition Mandorla, les métamorphoses du sacré comme dans une chambre des merveilles : elles s’en imprègnent, s’y inscrivent, s’y laissent traverser et résonner. Ce n’est qu’ensuite qu’elles dansent, chantent, disent, transforment — pour rendre visible, pour partager. La Compagnie Betula Lenta performe nos natures, nos souverainetés, nos vulnérabilités, nos puissances, dans un entremêlement d’histoires intimes et collectives. RESERVER

Retrouvez Geneviève Bührer-Thierry, historienne spécialiste du Moyen Âge, à l’occasion d’une conférence dédiée à Hildegarde de Bingen. Dans le cadre de l’exposition Mandorla, les métamorphoses du sacré, elle décrypte les miniatures des Scivias, dévoilant la puissance symbolique, spirituelle et esthétique des visions de cette figure emblématique du XIIᵉ siècle. RESERVER

La salle du Chapitre était autrefois le lieu où les moniales se rassemblaient quotidiennement pour la lecture de la règle de saint Benoît, un texte fondamental qui régissait la vie monastique. À l’occasion des Nuits de la Lecture, cet espace retrouve sa fonction originelle grâce à Pierre Adam, metteur en scène et comédien, qui y donne voix à un texte du XVIIe siècle. Rédigé par l’abbé de Cîteaux après une visite à l’abbaye Notre-Dame la Royale de Maubuisson, ce document dépeint, ligne après ligne, le quotidien des religieuses, oscillant entre les principes cisterciens et leur vie à l’abbaye. Ce document est aujourd’hui conservé aux archives départementales du Val d’Oise. RESERVER

Les sorcières ont mauvaise réputation, on le savait déjà, mais pourquoi ? Présentes dans toutes les cultures et sur tous les continents, qui sont les « Baba Yaga » et autres « Mangeuses d’âme » ? A travers trois contes traditionnels d’origines diverses, le public découvrira les multiples visages de celles que l’on nomme « les sorcières ». Et si, en définitive, nous avions peur de ces femmes parce qu’elles en savent plus que nous ? RESERVER